Accéder au contenu principal

Mes 20 films préférés de 2023

Un classement personnel, partial et subjectif qui n'engage que son auteur…*


Sortie le 16 août 2023 – 41 000 entrées



2. Perfect Days de Wim Wenders
Sortie le 29 novembre 2023 – 388 000 entrées



Sortie le 1er novembre 2023 – 1 646 000 entrées




4. The Fabelmans de Steven Spielberg
Sortie le 22 février 2023 – 917 000 entrées



5. Tár de Todd Field
Sortie le 25 janvier 2023 – 319 000 entrées



6. Mon ami robot (Robot Dreams) de Pablo Berger
Sortie le 27 décembre 2023 – 57 000 entrées



7. Chien de la casse de Jean-Baptiste Durand
Sortie le 19 avril 2023 – 83 000 entrées



8. Le procès Goldman de Cédric Kahn
Sortie le 27 septembre 2023 – 336 000 entrées



9. Past Lives - Nos vie d’avant (Past Lives) de Celine Song
Sortie le 13 décembre 2023 – 159 000 entrées



Sortie le 12 juillet 2023 – 130 000 entrées



11. Babylon de Damien Chazelle
Sortie le 18 janvier 2023 – 1 506 000 entrées



12. Fremont de Babak Jalali
Sortie le 6 décembre 2023 – 22 450 entrées



13. L’odeur du vent (Derb) d’Hadi Mohaghegh
Sortie le 24 mai 2023 – 29 000 entrées



14. Misanthrope (To Catch A Killer) de Damian Szifrón
Sortie le 26 avril 2023 – 198 000 entrées



15. Oppenheimer de Christopher Nolan
Sortie le 19 juillet 2023 – 4 446 000 entrées



16. Le règne animal de Thomas Cailley
Sortie le 4 octobre 2023 – 1 154 000 entrées



Sortie le 9 août 2023 – 5 190 entrées



18. Limbo de Soi Cheang
Sortie le 12 juillet 2023 – 51 000 entrées



19. Retour à Séoul de Davy Chou
Sortie le 25 janvier 2023 – 112 000 entrées



20. Nostalgia de Mario Martone
Sortie le 4 janvier 2023 – 177 000 entrées



* Les dates indiquées correspondent à la première sortie commerciale française et non à l’année de production ou de présentation du film dans son pays d'origine.


Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Le paradis des rêves brisés

La confession qui suit est bouleversante… © A Medvedkine Elle est le fait d’une jeune fille de 22 ans, Anna Bosc-Molinaro, qui a travaillé pendant cinq années à différents postes d’accueil à la Cinémathèque Française dont elle était par ailleurs une abonnée assidue. Au-delà de ce lieu mythique de la cinéphilie qui confie certaines tâches à une entreprise de sous-traitance aux méthodes pour le moins discutables, CityOne (http://www.cityone.fr/) -dont une responsable non identifiée s’auto-qualifie fièrement de “petit Mussolini”-, sans nécessairement connaître les dessous répugnants de ses “contrats ponctuels”, cette étudiante éprise de cinéma et idéaliste s’est retrouvée au cœur d’un mauvais film des frères Dardenne, victime de l'horreur économique dans toute sa monstruosité : harcèlement, contrats précaires, horaires variables, intimidation, etc. Ce n’est pas un hasard si sa vidéo est signée Medvedkine, clin d’œil pertinent aux fameux groupes qui signèrent dans la mouva...

Bud Spencer (1929-2016) : Le colosse à la barbe fleurie

Bud Spencer © DR     De Dieu pardonne… Moi pas ! (1967) à Petit papa baston (1994), Bud Spencer a tenu auprès de Terence Hill le rôle de complice qu’Oliver Hardy jouait aux côtés de Stan Laurel. À 75 ans et après plus de cent films, l’ex-champion de natation Carlo Pedersoli, colosse bedonnant et affable, était la surprenante révélation d’ En chantant derrière les paravents  (2003) d’Ermanno Olmi, Palme d’or à Cannes pour L’arbre aux sabots . Une expérience faste pour un tournant inattendu au sein d’une carrière jusqu’alors tournée massivement vers la comédie et l’action d’où émergent des films comme On l’appelle Trinita (1970), Deux super-flics (1977), Pair et impair (1978), Salut l’ami, adieu le trésor (1981) et les aventures télévisées d’ Extralarge (1991-1993). Entrevue avec un phénomène du box-office.   Rencontre « Ermanno Olmi a insisté pour que je garde mon pseudonyme, car il évoque pour lui la puissance, la lutte et la viol...

Berlinale Jour 2 - Mardi 2 mars 2021

Mr Bachmann and His Class (Herr Bachmann und seine Klasse) de Maria Speth (Compétition) Documentaire. 3h37 Dieter Bachmann est enseignant à l’école polyvalente Georg-Büchner de Stadtallendorf, dans le Nord de la province de Hesse. Au premier abord, il ressemble à un rocker sur le retour et mêle d’ailleurs à ses cours la pratique des instruments de musique qui l’entourent. Ses élèves sont pour l’essentiel des enfants de la classe moyenne en majorité issus de l’immigration. Une particularité qu’il prend constamment en compte pour les aider à s’intégrer dans cette Allemagne devenue une tour de Babel, sans perdre pour autant de vue leurs racines. La pédagogie exceptionnelle de ce professeur repose sur son absence totale de préjugés et sa foi en une jeunesse dont il apprécie et célèbre la diversité. Le documentaire fleuve que lui a consacré la réalisatrice allemande Maria Speth se déroule le temps d’une année scolaire au cours de laquelle le prof et ses élèves vont apprendre à se connaître...