Flora Lau © DR Membre du mouvement dit de la “Fresh Wave” et passée par l’apprentissage du documentaire, la réalisatrice hong-kongaise Flora Lau a réalisé deux courts métrages, 1 2 : 30 (2008) et Dry Rain (2009), avant de passer au long avec Bends (2013), pour lequel elle a réussi à rallier à sa cause le chef opérateur de Wong Kar-wai, Christopher Doyle, et la star Carina Lau. Dans quelles conditions techniques et économiques Bends a-t-il été tourné ? J’ai toujours été intéressée par des aspects de la société qui sont souvent mal représentés ou incompris, tout particulièrement à Hong Kong où j’ai grandi et où bon nombre de couches de la société sont rarement explorées, notamment au cinéma. En gardant à l’esprit mes deux personnages principaux, j’ai tiré de ce point de départ un scénario à l’occasion de ma participation au laboratoire cinématographique Binger d’Amsterdam, en 2010. À la suite de ce séjour en Europe, je suis rentrée à Hong Kong où j’ai poursui
Le cinéma dans tous ses états… Des interviews de réalisateurs Des paroles de créateurs Des coups de cœur Des hommages Des célébrations Des partis pris Des confessions d’artistes Des livres, des DVD, des Blu-rays Des festivals, des expositions, des rétrospectives Des photos, des bandes annonces, des extraits…