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Affichage des articles associés au libellé James Norton

“Bob Marley : One Love” de Reinaldo Marcus Green

Film américain de Reinaldo Marcus Green (2024), avec Kingsley Ben-Adir, Lashana Lynch, Michael Gandolfini, Tosin Cole, James Norton, Nadine Marshall, Anthony Welsh, Umi Myers, Nia Ashi, Aston Barrett Jr., Anna-Sharé Blake, Gawaine “J-Summa” Campbell, Naomi Cowan, Alexx A-Game, Quan-Dajai Henriques, David Kerr, Hector Roots Lewis, Abijah “Naki Wailer” Livingston, Sheldon Shepherd, Andrae Simpson, Stefan A.D Wade… 1h50. Sortie le 14 février 2024. Kingsley Ben-Adir Peace and Love Le biopic est aujourd’hui un genre à part entière qui doit essuyer de plus en plus souvent la concurrence du documentaire et surtout, dans le cas de personnages contemporains, le poids du réel face à la reconstitution, aussi soignée soit-elle. La comparaison est plus que jamais d’actualité au moment où sort Bob Marley : One Love , concocté sous l’étroite surveillance de toute sa famille, de sa veuve Rita à son fils Ziggy. Difficile, en effet, de faire abstraction du documentaire qu’a consacré au roi du reggae don

“Un endroit comme un autre” d’Uberto Pasolini

Nowhere Special Film britannico-italo-polonais d’Uberto Pasolini (2020), avec James Norton, Daniel Lamont, Eileen O’Higgins, Valerie O’Connor, Laura Hughes, Stella McCusker, Carol Moore, Valene Kane… 1h36. Sortie le 8 décembre 2021. Daniel Lamont et  James Norton C’est l’histoire d’un papa célibataire qui aime son petit garçon de 3 ans d’un si grand amour qu’il décide de choisir avec lui la maman idéale pour quand il ne sera plus là afin de veiller sur lui. Quête impossible du foyer idéal que vont mener de concert le père et le fils, en rencontrant des mères de famille prêtes à nourrir une bouche de plus parmi leur couvée. Voici un film tout simple qui joue sur la pudeur des sentiments et ces mots que l’adulte n’arrive pas à prononcer, face à cet enfant trop jeune pour comprendre qu’il cherche à lui dire adieu en lui laissant des souvenirs de lui. De ce sujet ô combien délicat qui pouvait prêter au mélodrame larmoyant, le réalisateur britannique d’origine italienne Uberto Pasolini (no