Accéder au contenu principal

Articles

Affichage des articles associés au libellé Thomas Gioria

“Toni, en famille” de Nathan Ambrosioni

Film français de Nathan Ambrosioni (2023), avec Camille Cottin, Léa Lopez, Thomas Gioria, Louise Labeque, Oscar Pauleau, Juliane Lepoureau, Catherine Mouchet, Florence Muller, Guillaume Gouix, Saadia Bentaïeb, Benoît Giros, Caroline Espargillière… 1h35. Sortie le 6 septembre 2023. Camille Cottin, Léa Lopez, Thomas Gioria Louise Labeque, Oscar Pauleau et Juliane Lepoureau Une ex-chanteuse de télé-crochet élève seule ses cinq enfants et se produit le soir dans les bars une fois qu’ils sont couchés devant des oiseaux de nuit qui ne la méritent pas vraiment. Au moment où les deux aînés s’apprêtent à quitter le nid familial pour poursuivre leurs études, elle peut enfin envisager de vivre aussi un peu pour elle en renouant avec ses ambitions de jeunesse. Mais le monde a changé autour d’elle et elle ne s’en rend pas nécessairement compte. Toni, en famille propose un portrait de groupe comme le cinéma français en a perdu l’habitude au profit de certaines sagas et sitcoms télévisuelles. Voici

“Madeleine Collins” d’Antoine Barraud

Film franco-belgo-suisse d’Antoine Barraud (2021), avec Virginie Efira, Bruno Salomone, Quim Gutiérrez, Loïse Benguerel, Jacqueline Bisset, Valérie Donzelli, Nadav Lapid, Thomas Gioria, François Rostain, Nathalie Boutefeu… 1h47. Sortie le 22 décembre 2021. Quim Gutiérrez et  Virginie Efira Une femme procède à des essayages dans un grand magasin. Jusqu’au moment où elle est terrassée par un malaise qui engendre un véritable mouvement de panique dans l’établissement… Ailleurs, une autre femme dit au revoir à son mari et à sa fille pour partir donner une série de récitals loin de là. Ailleurs encore, la même semble vivre un bonheur parfait en compagnie d’un autre homme et de deux garçons plus âgés… Avec ses deux premiers longs métrages de fiction, Les gouffres (2012) et Le dos rouge (2014), Antoine Barraud avait démontré une virtuosité associée à un goût de l’étrange et à un certain penchant pour l’esthétisme. Madeleine Collins pousse encore plus loin ces obsessions à travers une intr