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Affichage des articles associés au libellé Mads Mikkelsen

“Indiana Jones et le cadran de la destinée” de James Mangold

Indiana Jones and the Dial of Destiny Film américain de James Mangold (2023), avec Harrison Ford, Phoebe Waller-Bridge, Mads Mikkelsen, Ethann Isidore, Boyd Holbrook, Antonio Banderas, John Rhys-Davies, Toby Jones, Thomas Kretschmann, Shaunette Renee Wilson, Alaa Safi, Mark Killen, Karen Allen… 2h34. Sortie le 28 juin 2023. Harrison Ford et Ethann Isidore Il est des franchises dont on se prend à penser qu’elles ne peuvent pas être éternelles…et surtout qu’elles ne le doivent pas… Une considération évidemment incompatible avec le dogme hollywoodien selon lequel “quand on aime, on ne compte pas”. Il y a déjà quatre décennies Les aventuriers de l’Arche perdue (1981) imposait Harrison Ford, ci-devant Han Solo de la saga Star Wars, dans un autre rôle emblématique sinon mythologique : celui du professeur d’archéologie Indiana Jones. Steven Spielberg met en scène lui-même les trois premiers opus de la saga qui renaît de ses cendres vingt ans plus tard avec Indiana Jones et le royaume du cr

"Drunk" de Thomas Vinterberg

Druk Film danois de Thomas Vinterberg (2019), avec Mads Mikkelsen, Thomas Bo Larsen, Lars Ranthe, Magnus Millang … 1h55. Sortie le 14 octobre 2020. Dans un lycée de Copenhague, quatre professeurs d'âge mûr décident de vérifier la théorie énoncée par le psychologue norvégien Finn Skårderud selon laquelle boire permettrait à l’homme de combler le léger déficit d’alcool dont son sang pâtirait à la naissance. Au grand dam de leurs élèves qui ne se privent pourtant pas de prendre des cuites,  ils entreprennent de boire jusqu’à plus soif afin de voir jusqu’où leur taux d’alcoolémie les aidera à se désinhiber et à mieux supporter le poids écrasant de leur existence ordinaire. Jusqu’au moment où la situation finit par leur échapper… Partant de ce point de départ pour le moins baroque, Thomas Vinterberg aborde une fois de plus un sujet qui fâche pour en tirer ce qu’on peut considérer sans grand risque de se tromper comme son film le plus rabelaisien. Le réalisateur administre sans vergog