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Affichage des articles associés au libellé Brady Hepner

“Winter Break” d’Alexander Payne

The Holdovers Film américain d’Alexander Payne (2023), avec Paul Giamatti, Dominic Sessa, Da’vine Joy Randolph, Carrie Preston, Brady Hepner, Ian Dolley, Jim Kaplan, Michael Provost, Andrew Garman, Naheem Garcia, Tate Donovan, Gillian Vigman, Stephen Thorne… 2h13. Sortie le 13 décembre 2023. Da’vine Joy Randolph,  Paul Giamatti et Dominic Sessa Alexander Payne fait partie de ces réalisateurs américains qui doivent l’essentiel de leur réputation à leur public international et qu’on qualifie parfois volontiers de cinéastes indépendants pour souligner qu’ils appartiennent à une espèce protégée des cinéphiles purs et durs. Qu’il s’attache à des amis embarqués sur la route des vins de la Napa Valley (dans Sideways) ou se concentre sur des hommes confrontés au grand âge (Jack Nicholson dans Monsieur Schmidt et Bruce Dern dans Nebraska) , l’auteur de The Descendants est aussi un chantre de l’Amérique profonde qui cultive sa différence à l’écart de New York et de Los Angeles. Il exalte volo

“Black Phone” de Scott Derrickson

The Black Phone Film américain de Scott Derrickson (2021), avec Mason Thames, Madeleine McGraw, Ethan Hawke, Miguel Cazarez Mora, Jeremy Davies, Brady Hepner, Derrick Lemon, Banks Repeta… 1h43. Sortie le 22 juin 2022. Madeleine McGraw et  Mason Thames À 13 ans, Finney est un adolescent timoré qui vit avec sa sœur cadette sous la domination d’un père alcoolique et endure quotidiennement les brimades de ses camarades de collège dont il est le souffre-douleur. Jusqu’au jour où il est kidnappé par un tueur déjà à l’origine de plusieurs disparitions irrésolues. Dans la cave où il est détenu, il découvre un téléphone mural à l’aide duquel il communique avec les autres victimes du maniaque qui le séquestre… Produit par Blumhouse dont on ne compte plus les succès dans le domaine du fantastique, de l’horreur et plus généralement du cinéma de genre, Black Phone se déroule en 1978 et renvoie à cet âge d’or, de Massacre à la tronçonneuse (1974) de Tobe Hooper aux premiers opus de John Carpenter