Mes 20 films préférés de 2020

Un classement personnel, partial et subjectif qui n'engage que son auteur…*

1. Madre de Rodrigo Sorogoyen

Sortie le 22 juillet 2020 – 87 000 entrées

2. Soul de Pete Docter et Kemp Powers

Sortie le 25 décembre 2020 – Disney+

3. Mank de David Fincher

Sortie le 4 décembre 2020 – Netflix

4. Le sel des larmes de Philippe Garrel

Sortie le 15 juillet 2020 – 12 600 entrées

5. Never Rarely Sometimes Always d’Eliza Hittman

Sortie le 19 août 2020 – 18 000 entrées

6. ADN de Maïwenn

Sortie le 28 octobre 2020 – 255 000 entrées

7. Les filles du docteur March (Little Women) de Greta Gerwig

Sortie le 1er janvier 2020 – 805 000 entrées

8. 1917 de Sam Mendes

Sortie le 15 janvier 2020 – 2 203 000 entrées

9. Adieu les cons d’Albert Dupontel

Sortie le 21 octobre 2020 – 2 001 000 entrées

10. Antigone de Sophie Deraspe

Sortie le 2 septembre 2020 – 8 000 entrées

11. Dawson City : le temps suspendu (Dawson City : Frozen Time) de Bill Morrison

Sortie le 5 août 2020 – 1 474 entrées

12. Swallow de Carlo Mirabella-Davis

Sortie le 15 janvier 2020 – 51 600 entrées

13. A Dark, Dark Man d’Adilkhan Yerzhanov

Sortie le 14 octobre 2020 – 16 500 entrées

14. Calamity, une enfance de Martha Jane Cannary de Rémi Chayé

Sortie le 14 octobre 2020 – 289 000 entrées

15. Tenet de Christopher Nolan

Sortie le 26 août 2020 – 2 349 000 entrées

16. Sapphire Crystal de Virgil Vernier

Sortie le 15 juillet 2020 – 355 entrées

17. Adolescentes de Sébastien Lifshitz

Sortie le 9 septembre 2020 – 96 000 entrées

18. The Perfect Candidate d’Haifaa el Mansour

Sortie le 12 août 2020 – 100 000 entrées

19. L’ombre de Staline (Mr. Jones) d’Agnieszka Holland

Sortie le 22 juin 2020 – 219 000 entrées

20. Les choses qu’on dit, les choses qu’on fait d’Emmanuel Mouret

Sortie le 16 septembre 2020 – 280 000 entrées

* Les dates indiquées correspondent à la première sortie commerciale française et non à l’année de production ou de présentation du film dans son pays d'origine.

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Le paradis des rêves brisés

La confession qui suit est bouleversante… © A Medvedkine Elle est le fait d’une jeune fille de 22 ans, Anna Bosc-Molinaro, qui a travaillé pendant cinq années à différents postes d’accueil à la Cinémathèque Française dont elle était par ailleurs une abonnée assidue. Au-delà de ce lieu mythique de la cinéphilie qui confie certaines tâches à une entreprise de sous-traitance aux méthodes pour le moins discutables, CityOne (http://www.cityone.fr/) -dont une responsable non identifiée s’auto-qualifie fièrement de “petit Mussolini”-, sans nécessairement connaître les dessous répugnants de ses “contrats ponctuels”, cette étudiante éprise de cinéma et idéaliste s’est retrouvée au cœur d’un mauvais film des frères Dardenne, victime de l'horreur économique dans toute sa monstruosité : harcèlement, contrats précaires, horaires variables, intimidation, etc. Ce n’est pas un hasard si sa vidéo est signée Medvedkine, clin d’œil pertinent aux fameux groupes qui signèrent dans la mouva

Bud Spencer (1929-2016) : Le colosse à la barbe fleurie

Bud Spencer © DR De Dieu pardonne… Moi pas ! (1967) à Petit papa baston (1994), Bud Spencer a tenu auprès de Terence Hill le rôle de complice qu’Oliver Hardy jouait aux côtés de Stan Laurel. À 75 ans et après plus de cent films, l’ex-champion de natation Carlo Pedersoli, colosse bedonnant et affable, était la surprenante révélation d’ En chantant derrière les paravents (2003) d’Ermanno Olmi, Palme d’or à Cannes pour L’arbre aux sabots . Une expérience faste pour un tournant inattendu au sein d’une carrière jusqu’alors tournée massivement vers la comédie et l’action d’où émergent des films comme On l’appelle Trinita (1970), Deux super-flics (1977), Pair et impair (1978), Salut l’ami, adieu le trésor (1981) et les aventures télévisées d’ Extralarge (1991-1993). Entrevue avec un phénomène du box-office. Rencontre « Ermanno Olmi a insisté pour que je garde mon pseudonyme, car il évoque pour lui la puissance, la lutte et la violence. En outre, c’était

Jean-Christophe Averty (1928-2017) : Un jazzeur sachant jaser…

Jean-Christophe Averty © DR Né en 1928, Jean-Christophe Averty est élève de l'Institut des Hautes Etudes Cinématographiques (Idhec) avant de partir travailler en tant que banc-titreur pour les Studios Disney de Burbank où il reste deux ans en accumulant une expertise précieuse qu'il saura mettre à profit par la suite. De retour en France, il intègre la RTF en 1952 où il réalisera un demi-millier d'émissions de radio et de télévision dont Les raisins verts (1963-1964) qui assoit sa réputation de frondeur à travers l'image récurrente d'une poupée passé à la moulinette d'un hachoir à viande et pas moins de 1 805 numéros des Cinglés du music-hall (1982-2006) où il exprime sa passion pour la musique, sur France Inter, puis France Culture, lui, l'amateur de jazz à la voix inimitable chez qui les mots semblent se bousculer. Fin lettré et passionné par les images, l’iconoclaste Averty compte parmi les pionniers de la vidéo et se caract

PersonaGrata

Rechercher dans ce blog