Sébastien Lifshitz © DR Lauréat du Prix Jean Vigo 1998 pour son premier film, Les corps ouverts, couronné du Prix Kodak du court métrage à Cannes, Sébastien Lifshitz a également obtenu deux prix à Berlin pour Wild Side, en 2004. On lui doit également Presque rien (2000) et Plein Sud (2009). Après un premier documentaire, La traversée , en 2001, il a récidivé avec Les invisibles (2012) qui a notamment obtenu un César et dans lequel il aborde une fois de plus son sujet de prédilection, l’homosexualité, à travers les témoignages d’hommes et de femmes nés pendant l’Entre-Deux-Guerres et contraints de vivre leur “différence” dans un monde hostile. Il a persévéré par la suite avec Bambi (2013), qui a à nouveau été distingué à Berlin. Dans quelles conditions Les invisibles a-t-il été produit et tourné ? Zadig Films a décidé de produire Les invisibles dès notre premier rendez-vous. Bruno Nahon a eu une sorte de coup de foudre pour la singularité du...
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