Accéder au contenu principal

Mes 20 films préférés de 1949

Un classement personnel, partial et subjectif qui n'engage que son auteur…*




1. Jour de fête de Jacques Tati
Sortie le 4 mai 1949 – 7 271 000 entrées




2. Le voleur de bicyclette (Ladri di biciclette) de Vittorio de Sica
Sortie le 26 août 1949 – 2 956 000 entrées




3. Chasse à l’homme (Man Hunt) de Fritz Lang
Sortie le 15 juin 1949 – 59 000 entrées




4. Allemagne, année zéro (Germania anno zero) de Roberto Rossellini
Sortie le 2 février 1949 – 521 000 entrées




5. Le troisième homme (The Third Man) de Carol Reed
Sortie le 12 octobre 1949 – 5 737 000 entrées




6. Chaînes conjugales (A Letter to Three Wives) de Joseph L. Mankiewicz
Sortie le 30 novembre 1949 – 249 000 entrées




7. Les chaussons rouges (The Red Shoes) de Michael Powell et Emeric Pressburger
Sortie le 10 juin 1949 – 2 852 000 entrées




8. Manon d’Henri-Georges Clouzot
Sortie le 9 mars 1949 – 3 412 000 entrées




9. Le narcisse noir (Black Narcissus) de Michael Powell et Emeric Pressburger
Sortie le 20 juillet 1949 – 1 379 000 entrées




10. La rivière rouge (Red River) d’Howard Hawks
Sortie le 10 août 1949 – 1 711 000 entrées




11. Le silence de la mer de Jean-Pierre Melville
Sortie le 22 avril 1949 – 1 372 000 entrées




12. Le pirate (The Pirate) de Vincente Minnelli
Sortie le 28 septembre 1949 – 47 000 entrées




13. Allez coucher ailleurs (I Was a Male War Bride) d’Howard Hawks
Sortie le 21 décembre 1949 – 1 977 000 entrées




14. Nous avons gagné ce soir… (The Set-Up) de Robert Wise
Sortie le 14 octobre 1949 – 543 000 entrées




15. Le trésor de la Sierra Madre (The Treasure of the Sierra Madre) de John Huston
Sortie le 11 février 1949 – 1 684 000 entrées




16. La cité sans voiles (The Naked City) de Jules Dassin
Sortie le 13 mai 1949 – 1 164 000 entrées




17. Rendez-vous de juillet de Jacques Becker
Sortie le 24 décembre 1949 – 1 891 000 entrées




18. La scandaleuse de Berlin (A Foreign Affair) de Billy Wilder
Sortie le 22 avril 1949 – 1 647 000 entrées




19. Passeport pour Pimlico (Passport to Pimlico) d’Henry Cornelius
Sortie le 26 octobre 1949 – 880 000 entrées




20. Le procès Paradine (The Paradine Case) d’Alfred Hitchcock
Sortie le 21 décembre 1949 – 1 480 000 entrées



* Les dates indiquées correspondent à la première sortie commerciale française et non à l’année de production ou de présentation du film dans son pays d'origine.

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Le paradis des rêves brisés

La confession qui suit est bouleversante… © A Medvedkine Elle est le fait d’une jeune fille de 22 ans, Anna Bosc-Molinaro, qui a travaillé pendant cinq années à différents postes d’accueil à la Cinémathèque Française dont elle était par ailleurs une abonnée assidue. Au-delà de ce lieu mythique de la cinéphilie qui confie certaines tâches à une entreprise de sous-traitance aux méthodes pour le moins discutables, CityOne (http://www.cityone.fr/) -dont une responsable non identifiée s’auto-qualifie fièrement de “petit Mussolini”-, sans nécessairement connaître les dessous répugnants de ses “contrats ponctuels”, cette étudiante éprise de cinéma et idéaliste s’est retrouvée au cœur d’un mauvais film des frères Dardenne, victime de l'horreur économique dans toute sa monstruosité : harcèlement, contrats précaires, horaires variables, intimidation, etc. Ce n’est pas un hasard si sa vidéo est signée Medvedkine, clin d’œil pertinent aux fameux groupes qui signèrent dans la mouva

Bud Spencer (1929-2016) : Le colosse à la barbe fleurie

Bud Spencer © DR     De Dieu pardonne… Moi pas ! (1967) à Petit papa baston (1994), Bud Spencer a tenu auprès de Terence Hill le rôle de complice qu’Oliver Hardy jouait aux côtés de Stan Laurel. À 75 ans et après plus de cent films, l’ex-champion de natation Carlo Pedersoli, colosse bedonnant et affable, était la surprenante révélation d’ En chantant derrière les paravents  (2003) d’Ermanno Olmi, Palme d’or à Cannes pour L’arbre aux sabots . Une expérience faste pour un tournant inattendu au sein d’une carrière jusqu’alors tournée massivement vers la comédie et l’action d’où émergent des films comme On l’appelle Trinita (1970), Deux super-flics (1977), Pair et impair (1978), Salut l’ami, adieu le trésor (1981) et les aventures télévisées d’ Extralarge (1991-1993). Entrevue avec un phénomène du box-office.   Rencontre « Ermanno Olmi a insisté pour que je garde mon pseudonyme, car il évoque pour lui la puissance, la lutte et la violence. En outre, c’était

Jean-Christophe Averty (1928-2017) : Un jazzeur sachant jaser…

Jean-Christophe Averty © DR Né en 1928, Jean-Christophe Averty est élève de l'Institut des Hautes Etudes Cinématographiques (Idhec) avant de partir travailler en tant que banc-titreur pour les Studios Disney de Burbank où il reste deux ans en accumulant une expertise précieuse qu'il saura mettre à profit par la suite. De retour en France, il intègre la RTF en 1952 où il réalisera un demi-millier d'émissions de radio et de télévision dont Les raisins verts (1963-1964) qui assoit sa réputation de frondeur à travers l'image récurrente d'une poupée passé à la moulinette d'un hachoir à viande et pas moins de 1 805 numéros des Cinglés du music-hall (1982-2006) où il exprime sa passion pour la musique, sur France Inter, puis France Culture, lui, l'amateur de jazz à la voix inimitable chez qui les mots semblent se bousculer. Fin lettré et passionné par les images, l’iconoclaste Averty compte parmi les pionniers de la vidéo et se caract