Accéder au contenu principal

Mes 20 films préférés de 1974

Un classement personnel, partial et subjectif qui n'engage que son auteur…*




1. Amarcord de Federico Fellini
Sortie le 8 mai 1974 – 1 104 000 entrées




2. Céline et Julie vont en bateau de Jacques Rivette
Sortie le 4 septembre 1974 – 199 000 entrées




3. Lacombe Lucien de Louis Malle
Sortie le 30 janvier 1974 – 1 748 000 entrées




4. Les valseuses de Bertrand Blier
Sortie le 20 mars 1974 – 5 728 000 entrées




5. Conversation secrète (The Conversation) de Francis Ford Coppola
Sortie le 5 juin 1974 – 235 000 entrées




6. La gueule ouverte de Maurice Pialat
Sortie le 4 mai 1974 – 27 000 entrées



7.  Mes petites amoureuses de Jean Eustache
Sortie le 18 décembre 1974 – 123 000 entrées



8. Vincent, François, Paul et les autres de Claude Sautet
Sortie le 20 octobre 1974 – 2 807 000 entrées




9. Chinatown de Roman Polanski
Sortie le 16 décembre 1974 – 1 823 000 entrées




10. Papillon de Franklin J. Schaffner
Sortie le 25 janvier 1974 – 3 852 000 entrées




11. L’exorciste (The Exorcist) de William Friedkin
Sortie le 18 septembre 1974 – 6 709 000 entrées




12. L’arnaque (The Sting) de George Roy Hill
Sortie le 17 avril 1974 – 4 157 000 entrées




13. Le fantôme de la liberté de Luis Bunuel
Sortie le 11 août 1974 – 1 081 000 entrées




14. American Graffiti de George Lucas
Sortie le 3 janvier 1974 – 1 249 000 entrées




15. Serpico de Sidney Lumet
Sortie le 22 mai 1974 – 220 000 entrées




16. L’horloger de Saint-Paul de Bertrand Tavernier
Sortie le 13 janvier 1974 – 987 000 entrées





17. Portier de nuit (Il portiere di notte) de Liliana Cavani
Sortie le 3 avril 1974 – 1 378 000 entrées




18. Le shérif est en prison (Blazing Saddles) de Mel Brooks
Sortie le 11 décembre 1974 – 1 088 000 entrées




19. Sugarland Express de Steven Spielberg
Sortie le 12 juin 1974 – 347 000 entrées




20. Toute une vie de Claude Lelouch
Sortie le 15 mai 1974 – 726 000 entrées

* Les dates indiquées correspondent à la première sortie commerciale française et non à l’année de production ou de présentation du film dans son pays d'origine.

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Le paradis des rêves brisés

La confession qui suit est bouleversante… © A Medvedkine Elle est le fait d’une jeune fille de 22 ans, Anna Bosc-Molinaro, qui a travaillé pendant cinq années à différents postes d’accueil à la Cinémathèque Française dont elle était par ailleurs une abonnée assidue. Au-delà de ce lieu mythique de la cinéphilie qui confie certaines tâches à une entreprise de sous-traitance aux méthodes pour le moins discutables, CityOne (http://www.cityone.fr/) -dont une responsable non identifiée s’auto-qualifie fièrement de “petit Mussolini”-, sans nécessairement connaître les dessous répugnants de ses “contrats ponctuels”, cette étudiante éprise de cinéma et idéaliste s’est retrouvée au cœur d’un mauvais film des frères Dardenne, victime de l'horreur économique dans toute sa monstruosité : harcèlement, contrats précaires, horaires variables, intimidation, etc. Ce n’est pas un hasard si sa vidéo est signée Medvedkine, clin d’œil pertinent aux fameux groupes qui signèrent dans la mouva

Bud Spencer (1929-2016) : Le colosse à la barbe fleurie

Bud Spencer © DR     De Dieu pardonne… Moi pas ! (1967) à Petit papa baston (1994), Bud Spencer a tenu auprès de Terence Hill le rôle de complice qu’Oliver Hardy jouait aux côtés de Stan Laurel. À 75 ans et après plus de cent films, l’ex-champion de natation Carlo Pedersoli, colosse bedonnant et affable, était la surprenante révélation d’ En chantant derrière les paravents  (2003) d’Ermanno Olmi, Palme d’or à Cannes pour L’arbre aux sabots . Une expérience faste pour un tournant inattendu au sein d’une carrière jusqu’alors tournée massivement vers la comédie et l’action d’où émergent des films comme On l’appelle Trinita (1970), Deux super-flics (1977), Pair et impair (1978), Salut l’ami, adieu le trésor (1981) et les aventures télévisées d’ Extralarge (1991-1993). Entrevue avec un phénomène du box-office.   Rencontre « Ermanno Olmi a insisté pour que je garde mon pseudonyme, car il évoque pour lui la puissance, la lutte et la violence. En outre, c’était

Jean-Christophe Averty (1928-2017) : Un jazzeur sachant jaser…

Jean-Christophe Averty © DR Né en 1928, Jean-Christophe Averty est élève de l'Institut des Hautes Etudes Cinématographiques (Idhec) avant de partir travailler en tant que banc-titreur pour les Studios Disney de Burbank où il reste deux ans en accumulant une expertise précieuse qu'il saura mettre à profit par la suite. De retour en France, il intègre la RTF en 1952 où il réalisera un demi-millier d'émissions de radio et de télévision dont Les raisins verts (1963-1964) qui assoit sa réputation de frondeur à travers l'image récurrente d'une poupée passé à la moulinette d'un hachoir à viande et pas moins de 1 805 numéros des Cinglés du music-hall (1982-2006) où il exprime sa passion pour la musique, sur France Inter, puis France Culture, lui, l'amateur de jazz à la voix inimitable chez qui les mots semblent se bousculer. Fin lettré et passionné par les images, l’iconoclaste Averty compte parmi les pionniers de la vidéo et se caract