Accéder au contenu principal

Mes 20 films préférés de 1938

Un classement personnel, partial et subjectif qui n'engage que son auteur…*




1. La femme du boulanger de Marcel Pagnol
Sortie le 7 septembre 1938




2. L’impossible monsieur Bébé (Bringing Up Baby) d’Howard Hawks
Sortie le 18 mars 1938




3. La bête humaine de Jean Renoir
Sortie le 23 décembre 1938




4. La huitième femme de Barbe-bleue (Bluebeard’s Eighth Wife) d’Ernst Lubitsch
Sortie le 25 avril 1938




5. Blanche Neige et les sept nains (Snow White and the Seven Dwarfs) de William Cottrell, David Hand, Wilfred Jackson, Larry Morey, Perce Pearce et Ben Sharpsteen
Sortie le 6 mai 1938




6. Les dieux du stade (Olympia) de Leni Riefenstahl
Sortie le 22 juin 1938




7. Le Schpountz de Marcel Pagnol
Sortie le 15 avril 1938




8. Les disparus de St. Agil de Christian-Jaque
Sortie le 6 avril 1938




9. Hôtel du Nord de Marcel Carné
Sortie le 14 décembre 1938




10. L’étrange monsieur Victor de Jean Grémillon
Sortie le 4 mai 1938




11. Les aventures de Robin des Bois (The Adventures of Robin Hood) de Michael Curtiz et William Keighley
Sortie le 24 novembre 1938




12. Entrée des artistes de Marc Allégret
Sortie le 6 octobre 1938




13. Le quai des brumes de Marcel Carné
Sortie le 17 mai 1938




14. Remontons les Champs-Élysées de Sacha Guitry
Sortie le 2 décembre 1938




15. L’incendie de Chicago (In Old Chicago)d’Henry King
Sortie le 31 mars 1938




16. La Marseillaise de Jean Renoir
Sortie le 10 février 1938




17. Rue sans issue (Dead End) de William Wyler
Sortie le 12 janvier 1938




18. Paramatta, bagne de femmes (Zu neuen Ufern) de Detlef Sierck
Sortie le 19 janvier 1938




19. Suez d’Allan Dwan
Sortie le 21 décembre 1938




20. La maison du Maltais de Pierre Chenal
Sortie le 22 septembre 1938




* Les dates indiquées correspondent à la première sortie commerciale française et non à l’année de production ou de présentation du film dans son pays d'origine.

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Le paradis des rêves brisés

La confession qui suit est bouleversante… © A Medvedkine Elle est le fait d’une jeune fille de 22 ans, Anna Bosc-Molinaro, qui a travaillé pendant cinq années à différents postes d’accueil à la Cinémathèque Française dont elle était par ailleurs une abonnée assidue. Au-delà de ce lieu mythique de la cinéphilie qui confie certaines tâches à une entreprise de sous-traitance aux méthodes pour le moins discutables, CityOne (http://www.cityone.fr/) -dont une responsable non identifiée s’auto-qualifie fièrement de “petit Mussolini”-, sans nécessairement connaître les dessous répugnants de ses “contrats ponctuels”, cette étudiante éprise de cinéma et idéaliste s’est retrouvée au cœur d’un mauvais film des frères Dardenne, victime de l'horreur économique dans toute sa monstruosité : harcèlement, contrats précaires, horaires variables, intimidation, etc. Ce n’est pas un hasard si sa vidéo est signée Medvedkine, clin d’œil pertinent aux fameux groupes qui signèrent dans la mouva...

Bud Spencer (1929-2016) : Le colosse à la barbe fleurie

Bud Spencer © DR     De Dieu pardonne… Moi pas ! (1967) à Petit papa baston (1994), Bud Spencer a tenu auprès de Terence Hill le rôle de complice qu’Oliver Hardy jouait aux côtés de Stan Laurel. À 75 ans et après plus de cent films, l’ex-champion de natation Carlo Pedersoli, colosse bedonnant et affable, était la surprenante révélation d’ En chantant derrière les paravents  (2003) d’Ermanno Olmi, Palme d’or à Cannes pour L’arbre aux sabots . Une expérience faste pour un tournant inattendu au sein d’une carrière jusqu’alors tournée massivement vers la comédie et l’action d’où émergent des films comme On l’appelle Trinita (1970), Deux super-flics (1977), Pair et impair (1978), Salut l’ami, adieu le trésor (1981) et les aventures télévisées d’ Extralarge (1991-1993). Entrevue avec un phénomène du box-office.   Rencontre « Ermanno Olmi a insisté pour que je garde mon pseudonyme, car il évoque pour lui la puissance, la lutte et la viol...

Berlinale Jour 2 - Mardi 2 mars 2021

Mr Bachmann and His Class (Herr Bachmann und seine Klasse) de Maria Speth (Compétition) Documentaire. 3h37 Dieter Bachmann est enseignant à l’école polyvalente Georg-Büchner de Stadtallendorf, dans le Nord de la province de Hesse. Au premier abord, il ressemble à un rocker sur le retour et mêle d’ailleurs à ses cours la pratique des instruments de musique qui l’entourent. Ses élèves sont pour l’essentiel des enfants de la classe moyenne en majorité issus de l’immigration. Une particularité qu’il prend constamment en compte pour les aider à s’intégrer dans cette Allemagne devenue une tour de Babel, sans perdre pour autant de vue leurs racines. La pédagogie exceptionnelle de ce professeur repose sur son absence totale de préjugés et sa foi en une jeunesse dont il apprécie et célèbre la diversité. Le documentaire fleuve que lui a consacré la réalisatrice allemande Maria Speth se déroule le temps d’une année scolaire au cours de laquelle le prof et ses élèves vont apprendre à se connaître...