Accéder au contenu principal

Mes 20 films préférés de 1986

Un classement personnel, partial et subjectif qui n'engage que son auteur…*




1. Le sacrifice (Offret) d’Andreï Tarkovski
Sortie le 14 mai 1986 – 238 000 entrées




2. Thérèse d’Alain Cavalier
Sortie le 24 septembre 1986 – 1 474 000 entrées




3. Hannah et ses sœurs (Hannah and Her Sisters) de Woody Allen
Sortie le 21 mai 1986 – 1 402 000 entrées




4. Mauvais sang de Leos Carax
Sortie le 26 novembre 1986 – 505 000 entrées




5. Tenue de soirée de Bertrand Blier
Sortie le 23 avril 1986 – 3 145 000 entrées




6. La couleur pourpre (The Color Purple) de Steven Spielberg
Sortie le 10 septembre 1986 – 1 756 000 entrées




7. Highlander de Russell Mulcahy
Sortie le 26 mars 1986 – 4 141 000 entrées




8. Chambre avec vue (A Room with a View) de James Ivory
Sortie le 19 novembre 1986 – 748 000 entrées




9. Le soulier de satin de Manoel de Oliveira
Sortie le 8 janvier 1986 – 28 700 entrées




10. Mission (The Mission) de Roland Joffé
Sortie le 1er octobre 1986 – 2 511 000 entrées




11. Ginger et Fred (Ginger e Fred) de Federico Fellini
Sortie le 22 janvier 1986 – 377 000 entrées




12. L’histoire officielle (La historia oficial) de Luis Puenzo
Sortie le 22 janvier 1986 – 374 000 entrées




13. Le lieu du crime d’André Téchiné
Sortie le 16 mai 1986 – 748 000 entrées




14. Autour de minuit (‘Round Midnight) de Bertrand Tavernier
Sortie le 24 septembre 1986 – 902 000 entrées




15. Aliens -  Le retour (Aliens) de James Cameron
Sortie le 8 octobre 1986 – 1 721 000 entrées




16. Jean de Florette et Manon des Sources de Claude Berri
Sorties les 27 août et 19 novembre 1986 – 7 224 000 et 6 646 000 entrées




17. Max mon amour de Nagisa Oshima
Sortie le 22 octobre 1986 – 233 000 entrées




18. Down by Law de Jim Jarmusch
Sortie le 12 novembre 1986 – 634 000 entrées




19. Mélo d’Alain Resnais
Sortie le 3 septembre 1986 – 555 000 entrées




20. After Hours de Martin Scorsese
Sortie le 16 mai 1986 – 1 037 000 entrées

* Les dates indiquées correspondent à la première sortie commerciale française et non à l’année de production ou de présentation du film dans son pays d'origine.

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Le paradis des rêves brisés

La confession qui suit est bouleversante… © A Medvedkine Elle est le fait d’une jeune fille de 22 ans, Anna Bosc-Molinaro, qui a travaillé pendant cinq années à différents postes d’accueil à la Cinémathèque Française dont elle était par ailleurs une abonnée assidue. Au-delà de ce lieu mythique de la cinéphilie qui confie certaines tâches à une entreprise de sous-traitance aux méthodes pour le moins discutables, CityOne (http://www.cityone.fr/) -dont une responsable non identifiée s’auto-qualifie fièrement de “petit Mussolini”-, sans nécessairement connaître les dessous répugnants de ses “contrats ponctuels”, cette étudiante éprise de cinéma et idéaliste s’est retrouvée au cœur d’un mauvais film des frères Dardenne, victime de l'horreur économique dans toute sa monstruosité : harcèlement, contrats précaires, horaires variables, intimidation, etc. Ce n’est pas un hasard si sa vidéo est signée Medvedkine, clin d’œil pertinent aux fameux groupes qui signèrent dans la mouva

Bud Spencer (1929-2016) : Le colosse à la barbe fleurie

Bud Spencer © DR     De Dieu pardonne… Moi pas ! (1967) à Petit papa baston (1994), Bud Spencer a tenu auprès de Terence Hill le rôle de complice qu’Oliver Hardy jouait aux côtés de Stan Laurel. À 75 ans et après plus de cent films, l’ex-champion de natation Carlo Pedersoli, colosse bedonnant et affable, était la surprenante révélation d’ En chantant derrière les paravents  (2003) d’Ermanno Olmi, Palme d’or à Cannes pour L’arbre aux sabots . Une expérience faste pour un tournant inattendu au sein d’une carrière jusqu’alors tournée massivement vers la comédie et l’action d’où émergent des films comme On l’appelle Trinita (1970), Deux super-flics (1977), Pair et impair (1978), Salut l’ami, adieu le trésor (1981) et les aventures télévisées d’ Extralarge (1991-1993). Entrevue avec un phénomène du box-office.   Rencontre « Ermanno Olmi a insisté pour que je garde mon pseudonyme, car il évoque pour lui la puissance, la lutte et la violence. En outre, c’était

Jean-Christophe Averty (1928-2017) : Un jazzeur sachant jaser…

Jean-Christophe Averty © DR Né en 1928, Jean-Christophe Averty est élève de l'Institut des Hautes Etudes Cinématographiques (Idhec) avant de partir travailler en tant que banc-titreur pour les Studios Disney de Burbank où il reste deux ans en accumulant une expertise précieuse qu'il saura mettre à profit par la suite. De retour en France, il intègre la RTF en 1952 où il réalisera un demi-millier d'émissions de radio et de télévision dont Les raisins verts (1963-1964) qui assoit sa réputation de frondeur à travers l'image récurrente d'une poupée passé à la moulinette d'un hachoir à viande et pas moins de 1 805 numéros des Cinglés du music-hall (1982-2006) où il exprime sa passion pour la musique, sur France Inter, puis France Culture, lui, l'amateur de jazz à la voix inimitable chez qui les mots semblent se bousculer. Fin lettré et passionné par les images, l’iconoclaste Averty compte parmi les pionniers de la vidéo et se caract