Accéder au contenu principal

Mes 20 films préférés de 1982

Un classement personnel, partial et subjectif qui n'engage que son auteur…*




1. E.T., l’extra-terrestre (E.T. the Extra-Terrestrial) de Steven Spielberg
Sortie le 1er décembre 1982 – 9 453 000 entrées




2. Fitzcarraldo de Werner Herzog
Sortie le 16 juin 1982 – 448 000 entrées




3. La maîtresse du lieutenant français (The French Lieutenant’s Woman) de Karel Reisz
Sortie le 17 mars 1982 – 827 000 entrées




4. Blade Runner de Ridley Scott
Sortie le 15 septembre 1982 – 2 040 000 entrées




5. Yol, la permission (Yol d’Yilmaz Güney et Serif Gören
Sortie le 1er septembre 1982 – 1 251 000 entrées



6. Le prince de New York (Prince of the City) de Sidney Lumet
Sortie le 13 janvier 1982 – 147 000 entrées (Paris)





7. Conte de la folie ordinaire (Storie di ordinaria follia) de Marco Ferreri
Sortie le 13 janvier 1982 – 854 000 entrées




8. Victor Victoria de Blake Edwards
Sortie le 13 octobre 1982 – 2 173 000 entrées




9. La nuit de San Lorenzo (La notte di San Lorenzo) de Paolo et Vittorio Taviani
Sortie le 20 octobre 1982 – 591 000 entrées




10. Reds de Warren Beatty
Sortie le 27 avril 1982 – 866 000 entrées




11. Missing - Porté disparu (Missing) de Costa Gavras
Sortie le 26 mai 1982 – 1 823 000 entrées




12. Ragtime de Milos Forman
Sortie le 6 janvier 1982 – 1 295 000 entrées




13. Pink Floyd : The Wall d’Alan Parker
Sortie le 14 juillet 1982 – 2 731 000 entrées




14. Le bateau (Das Boot) de Wolfgang Petersen
Sortie le 17 février 1982 – 928 000 entrées




15. Comédie érotique d’une nuit d’été (A Midsummer Night’s Sex Comedy) de Woody Allen
Sortie le 13 octobre 1982 – 1 131 000 entrées




16. Georgia (Four Friends) d’Arthur Penn
Sortie le 17 février 1982 – 661 000 entrées




17. Une chambre en ville de Jacques Demy
Sortie le 27 octobre 1982 – 232 000 entrées




18. Pixote, la loi du plus faible (Pixote : A Lei do Mais Fraco) d’Hector Babenco
Sortie le 5 mai 1982 – 365 000 entrées




19. Le beau mariage d’Éric Rohmer
Sortie le 19 mai 1982 – 197 000 entrées




20. Le secret de Veronika Voss (Die Sehnsucht der Veronika Voss) de Rainer Werner Fassbinder
Sortie le 30 juin 1982 – 205 000 entrées

* Les dates indiquées correspondent à la première sortie commerciale française et non à l’année de production ou de présentation du film dans son pays d'origine.

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Le paradis des rêves brisés

La confession qui suit est bouleversante… © A Medvedkine Elle est le fait d’une jeune fille de 22 ans, Anna Bosc-Molinaro, qui a travaillé pendant cinq années à différents postes d’accueil à la Cinémathèque Française dont elle était par ailleurs une abonnée assidue. Au-delà de ce lieu mythique de la cinéphilie qui confie certaines tâches à une entreprise de sous-traitance aux méthodes pour le moins discutables, CityOne (http://www.cityone.fr/) -dont une responsable non identifiée s’auto-qualifie fièrement de “petit Mussolini”-, sans nécessairement connaître les dessous répugnants de ses “contrats ponctuels”, cette étudiante éprise de cinéma et idéaliste s’est retrouvée au cœur d’un mauvais film des frères Dardenne, victime de l'horreur économique dans toute sa monstruosité : harcèlement, contrats précaires, horaires variables, intimidation, etc. Ce n’est pas un hasard si sa vidéo est signée Medvedkine, clin d’œil pertinent aux fameux groupes qui signèrent dans la mouva

Bud Spencer (1929-2016) : Le colosse à la barbe fleurie

Bud Spencer © DR     De Dieu pardonne… Moi pas ! (1967) à Petit papa baston (1994), Bud Spencer a tenu auprès de Terence Hill le rôle de complice qu’Oliver Hardy jouait aux côtés de Stan Laurel. À 75 ans et après plus de cent films, l’ex-champion de natation Carlo Pedersoli, colosse bedonnant et affable, était la surprenante révélation d’ En chantant derrière les paravents  (2003) d’Ermanno Olmi, Palme d’or à Cannes pour L’arbre aux sabots . Une expérience faste pour un tournant inattendu au sein d’une carrière jusqu’alors tournée massivement vers la comédie et l’action d’où émergent des films comme On l’appelle Trinita (1970), Deux super-flics (1977), Pair et impair (1978), Salut l’ami, adieu le trésor (1981) et les aventures télévisées d’ Extralarge (1991-1993). Entrevue avec un phénomène du box-office.   Rencontre « Ermanno Olmi a insisté pour que je garde mon pseudonyme, car il évoque pour lui la puissance, la lutte et la violence. En outre, c’était

Jean-Christophe Averty (1928-2017) : Un jazzeur sachant jaser…

Jean-Christophe Averty © DR Né en 1928, Jean-Christophe Averty est élève de l'Institut des Hautes Etudes Cinématographiques (Idhec) avant de partir travailler en tant que banc-titreur pour les Studios Disney de Burbank où il reste deux ans en accumulant une expertise précieuse qu'il saura mettre à profit par la suite. De retour en France, il intègre la RTF en 1952 où il réalisera un demi-millier d'émissions de radio et de télévision dont Les raisins verts (1963-1964) qui assoit sa réputation de frondeur à travers l'image récurrente d'une poupée passé à la moulinette d'un hachoir à viande et pas moins de 1 805 numéros des Cinglés du music-hall (1982-2006) où il exprime sa passion pour la musique, sur France Inter, puis France Culture, lui, l'amateur de jazz à la voix inimitable chez qui les mots semblent se bousculer. Fin lettré et passionné par les images, l’iconoclaste Averty compte parmi les pionniers de la vidéo et se caract