Accéder au contenu principal

Mes 20 films préférés de 1947

Un classement personnel, partial et subjectif qui n'engage que son auteur…*




1. La dame de Shanghai (The Lady from Shanghai) d’Orson Welles
Sortie le 24 décembre 1947 – 1 518 000 entrées




2. Le chant du Missouri (Meet Me in Saint Louis) de Vincente Minnelli
Sortie le 30 mai 1947 – 59 000 entrées




3. Jour de colère - Dies irae (Vredens dag) de Carl Theodor Dreyer
Sortie le 16 avril 1947 – XXX 000 entrées




 4. Jeux dangereux (To Be or Not to Be) d’Ernst Lubitsch
Sortie le 21 mai 1947 – 2 077 000 entrées




5. Rebecca d’Alfred Hitchcock
Sortie le 22 mai 1947 – 5 114 000 entrées




 6. Quai des Orfèvres d’Henri-Georges Clouzot
Sortie le 3 octobre 1947 – 5 555 000 entrées



7. La valse dans l’ombre (Waterloo Bridge) de Mervyn Le Roy
Sortie le 11 avril 1947 – 3 946 000 entrées




8. Panique de Julien Duvivier
Sortie le 15 janvier 1947 – 2 494 000 entrées



9. Shanghaï (The Shanghai Gesture) de Josef von Sternberg
Sortie le 2 décembre 1947 – XXX 000 entrées




10. La charge fantastique (They Died with Their Boots On) de Raoul Walsh
Sortie le 2 mai 1947 – 2 148 000 entrées




11. Les raisins de la colère (The Grapes of Wrath) de John Ford
Sortie le 31 décembre 1947 – 2 079 000 entrées




      12. La poursuite infernale (My Darling Clementine) de John Ford
Sortie le 30 avril 1947 – 1 296 000 entrées




13. Hellzapoppin de H. C. Potter
Sortie le 26 février 1947 – 1 627 000 entrées




 14. Péché mortel (Leave Her to Heaven) de John M. Stahl
Sortie le 9 juin 1947 – 1 799 000 entrées




 15. Le grand sommeil (The Big Sleep) d’Howard Hawks
Sortie le 6 août 1947 – 1 237 000 entrées




 16. Farrebique de Georges Rouquier
Sortie le 12 février 1947 – 1 212 000 entrées




 17. L’homme de la rue (Meet John Doe) de Frank Capra
Sortie le 11 juillet 1947 – 168 000 entrées




 18. Antoine et Antoinette de Jacques Becker
Sortie le 1er novembre 1947 – 3 616 000 entrées




19. Hantise (Gaslight) de George Cukor
Sortie le 1er janvier 1947 – 1 548 000 entrées




20. La folle ingénue (Cluny Brown) d’Ernst Lubitsch
Sortie le 4 juin 1947 – 389 000 entrées



* Les dates indiquées correspondent à la première sortie commerciale française et non à l’année de production ou de présentation du film dans son pays d'origine.
Libellés :

Commentaires

Enregistrer un commentaire

Posts les plus consultés de ce blog

Le paradis des rêves brisés

La confession qui suit est bouleversante… © A Medvedkine Elle est le fait d’une jeune fille de 22 ans, Anna Bosc-Molinaro, qui a travaillé pendant cinq années à différents postes d’accueil à la Cinémathèque Française dont elle était par ailleurs une abonnée assidue. Au-delà de ce lieu mythique de la cinéphilie qui confie certaines tâches à une entreprise de sous-traitance aux méthodes pour le moins discutables, CityOne (http://www.cityone.fr/) -dont une responsable non identifiée s’auto-qualifie fièrement de “petit Mussolini”-, sans nécessairement connaître les dessous répugnants de ses “contrats ponctuels”, cette étudiante éprise de cinéma et idéaliste s’est retrouvée au cœur d’un mauvais film des frères Dardenne, victime de l'horreur économique dans toute sa monstruosité : harcèlement, contrats précaires, horaires variables, intimidation, etc. Ce n’est pas un hasard si sa vidéo est signée Medvedkine, clin d’œil pertinent aux fameux groupes qui signèrent dans la mouva
Enregistrer un commentaire
Lire la suite

Bud Spencer (1929-2016) : Le colosse à la barbe fleurie

Bud Spencer © DR     De Dieu pardonne… Moi pas ! (1967) à Petit papa baston (1994), Bud Spencer a tenu auprès de Terence Hill le rôle de complice qu’Oliver Hardy jouait aux côtés de Stan Laurel. À 75 ans et après plus de cent films, l’ex-champion de natation Carlo Pedersoli, colosse bedonnant et affable, était la surprenante révélation d’ En chantant derrière les paravents  (2003) d’Ermanno Olmi, Palme d’or à Cannes pour L’arbre aux sabots . Une expérience faste pour un tournant inattendu au sein d’une carrière jusqu’alors tournée massivement vers la comédie et l’action d’où émergent des films comme On l’appelle Trinita (1970), Deux super-flics (1977), Pair et impair (1978), Salut l’ami, adieu le trésor (1981) et les aventures télévisées d’ Extralarge (1991-1993). Entrevue avec un phénomène du box-office.   Rencontre « Ermanno Olmi a insisté pour que je garde mon pseudonyme, car il évoque pour lui la puissance, la lutte et la violence. En outre, c’était
Enregistrer un commentaire
Lire la suite

Jean-Christophe Averty (1928-2017) : Un jazzeur sachant jaser…

Jean-Christophe Averty © DR Né en 1928, Jean-Christophe Averty est élève de l'Institut des Hautes Etudes Cinématographiques (Idhec) avant de partir travailler en tant que banc-titreur pour les Studios Disney de Burbank où il reste deux ans en accumulant une expertise précieuse qu'il saura mettre à profit par la suite. De retour en France, il intègre la RTF en 1952 où il réalisera un demi-millier d'émissions de radio et de télévision dont Les raisins verts (1963-1964) qui assoit sa réputation de frondeur à travers l'image récurrente d'une poupée passé à la moulinette d'un hachoir à viande et pas moins de 1 805 numéros des Cinglés du music-hall (1982-2006) où il exprime sa passion pour la musique, sur France Inter, puis France Culture, lui, l'amateur de jazz à la voix inimitable chez qui les mots semblent se bousculer. Fin lettré et passionné par les images, l’iconoclaste Averty compte parmi les pionniers de la vidéo et se caract
Enregistrer un commentaire
Lire la suite